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Nuit de #breaking(s) qui mettent la présidence #Trump en état de siège. Le plus important: le coup de fil suspect de Trump qui a déclenché le signalement par le lanceur d'alerte était au président de l'#Ukraine Zelensky, d'après le @washingtonpost. washingtonpost.com/national-secur…
@washingtonpost 2) Le président #Trump a donc "promis" et en tout cas agi avec le président d'#Ukraine Zelensky de façon jugée assez illégale pour qu'1 officier de renseignement déclenche un signalement légal d'alerte. Question: qu'a-t-il pu bien faire?
@washingtonpost 3) Et c'est là le 2nd #breaking: on ne sait pas sur quoi porte la plainte du lanceur d'alerte car l'inspecteur général du renseignement Atkinson,autorité supposée indépendante, a avoué hier au Congrès être bloqué par le directeur du renseignement de #Trump nytimes.com/2019/09/19/us/…
@washingtonpost 4) Oui, vous avez bien lu, la présidence #Trump bloque la transmission légale au Congrès d'un signalement d'alerte, classé pertinent et urgent par l'inspection générale du renseignement, alors qu'il concerne une action présidentielle litigieuse. Dur de ne pas y voir 1 entrave.
@washingtonpost 5) D'autant que- 3e #breaking- si l'inspecteur général Atkinson a refusé de discuter du contenu de la plainte, il a précisé aux parlementaires du comité du renseignement qu'elle concerne une série d'actions de #Trump et non un simple et seul coup de fil à Zelensky.
@washingtonpost 6) On en était là, dans cette pénombre imposée par la présidence #Trump au contre-pouvoir législatif du Congrès sur cette plainte quant à l'#Ukraine, quand- involontairement- l'avocat du président, l'inénarrable ex-maire de NY #Giuliani, a fondu un boulon en direct sur CNN…
@washingtonpost 7) Poussé dans ses retranchements par 1 Cuomo certes pas neutre, #Giuliani a concédé avoir demandé, en service commandé pour son client #Trump, à l'#Ukraine de reprendre l'enquête sur le fils #Biden abandonnée après le limogeage du procureur général local.
@washingtonpost 9) A cette heure, on n'en sait donc pas plus sur la "promesse" faite par #Trump à 1 chef d'Etat étranger, dont on peut seulement supposer que c'est Zelensky puisque l'#Ukraine serait au coeur de la plainte du lanceur d'alerte… MAIS…
@washingtonpost 10)… on peut rappeler que la rédaction du @washingtonpost accusait déjà le 5/09 #Trump de suspendre l'aide militaire à l'#Ukraine pour qu'elle reprenne l'enquête sur le fils #Biden. washingtonpost.com/opinions/globa…
@washingtonpost 11) Simple HYPOTHESE: #Trump aurait-il formulé de manière explicite un chantage à Zelinsky "aide militaire contre reprise de l'enquête sur #Biden", ce qui pourrait tout à fait justifier la plainte du lanceur d'alerte et corroborerait le tweet "d'aveu" de #Giuliani? A suivre…
@washingtonpost #Postscriptum (I) #Giuliani, comme tout partisan de #Trump, a vite enfourché le cheval du "deep state". Mais il est ici fourbu…L'inspecteur général Atkinson qui a relayé la plainte a été nommé par Trump. Le lanceur d'alerte travaillait au conseil de sécurité nationale… de Trump
@washingtonpost #Postscriptum (II)… et pour un "deep state" qui voudrait abattre #Trump sur ce lancement d'alerte quant à l'#Ukraine, il est amusant de constater qu'il met beaucoup d'ardeur à garder secret le contenu de la plainte, non? #complotismepartoutraisonnullepart
